Quelques mois après le séisme du 12 janvier 2010 en Haïti. le Programme des Nations unies pour le développement coordone une grande partie des activités d'enlèvement des débris dans une capitale encore traumatisée par la catastrophe. Des milliers de gens vont s'engager dans cette tâche colossale. Il s'agit pour ces femmes et ces hommes de redonner vie à leurs quartier ravagés, d'essayer de rallumer une flamme que les soubresauts de la terre ont éteinte. Pour que ne soit pas perdue la mémoire de cette lutte, Gary Victor a écrit Collier de débris pour, nous dit-il, "dialoguer avec les sans-voix, assister à la transmutation des débris, entendre battre les coeur des femmes et des hommes qui, dans l'anonymat, redessinaient la nouvelle configuration de la ville dans le flanc des montagnes, dans le creux des ravins, dans ces lieux où les bien-pensants n'osent pas s'aventurer, poutant pas trop loin des hautes murailles barbelées de leurs demeures."
Quelques mois apres le seisme du 12 janvier 2010 en Haiti. le Programme des Nations unies pour le developpement coordone une grande partie des activites d'enlevement des debris dans une capitale encore traumatisee par la catastrophe. Des milliers de gens vont s'engager dans cette tache colossale. Il s'agit pour ces femmes et ces hommes de redonner vie a leurs quartier ravages, d'essayer de rallumer une flamme que les soubresauts de la terre ont eteinte. Pour que ne soit pas perdue la memoire de cette lutte, Gary Victor a ecrit Collier de debris pour, nous dit-il, dialoguer avec les sans-voix, assister a la transmutation des debris, entendre battre les coeur des femmes et des hommes qui, dans l'anonymat, redessinaient la nouvelle configuration de la ville dans le flanc des montagnes, dans le creux des ravins, dans ces lieux ou les bien-pensants n'osent pas s'aventurer, poutant pas trop loin des hautes murailles barbelees de leurs demeures.